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L'armée allemande reste un soutien important pour le service de santé

21.01.2022

Vendredi, cinq soldats de la Bundeswehr ont terminé leur mission au sein du service de santé d'Iéna. Ils retournent maintenant dans leur caserne à Gotha. Depuis le 27.12.21, les camarades ont apporté leur soutien en se concentrant sur le suivi des personnes de contact. Sans ce soutien en personnel, le travail d'enquête n'aurait pas pu être réalisé. De plus, de nombreux enregistrements ont pu être complétés dans le logiciel de gestion des personnes de contact SORMAS.

Le chef de département Benjamin Koppe, qui préside la cellule de crise d'Iéna, a remercié les soldats pour leur engagement. "L'aide ciblée de l'armée allemande est un soutien important pour le service de santé publique depuis le début de la pandémie. Les personnes concernées attendent à juste titre une communication rapide sur toutes les questions relatives à l'infection par le coronavirus. Les cinq soldats ont fait preuve d'un grand engagement. La ville d'Iéna les remercie pour cela".

A partir de lundi prochain, trois soldats seront en service dans le service de santé. En cas de besoin, on compte également sur un soutien supplémentaire de la Bundeswehr.

"Ces dernières semaines et actuellement, nous accordons une attention toute particulière aux établissements de soins d'Iéna", déclare Benjamin Koppe en marge de la cérémonie d'adieu. Dans le cadre d'une communauté de travail de la cellule de crise, spécialement créée en tant que task force, des échanges réguliers ont lieu sur la situation dans les maisons de retraite. "Nous sommes toujours en contact étroit avec les établissements concernés et leurs responsables, afin de pouvoir agir préventivement et rapidement en cas d'épidémie. La génération des personnes âgées peut être assurée de notre soutien total".

Le Dr Beyermann, du service de santé publique, explique : "La propagation rapide de l'infection par le type omicron du virus nous préoccupe naturellement. Nous voulons à tout prix éviter les difficultés d'approvisionnement dans les établissements de soins stationnaires. Pour cela, nous discutons de la situation avec les directions des établissements et observons en détail l'évolution des épidémies".

Des restructurations ont déjà eu lieu au sein du service de santé publique pour faire face à la vague d'omicron qui s'annonce. Ainsi, des groupes ont été formés qui travaillent indépendamment les uns des autres sur le plan géographique et qui ne sont pas non plus en contact les uns avec les autres. Cela permettrait de minimiser la propagation possible d'infections parmi les employés et d'assurer la capacité de travail de l'office en tant qu'infrastructure critique. Des améliorations dans la gestion des cas sont également en cours afin de garantir une préparation rapide des documents nécessaires à la quarantaine et à l'isolement.