La formation de sapeur-pompier commence pour 16 jeunes hommes à Iéna
La formation de base de six mois pour le service intermédiaire de lutte contre les incendies a débuté aujourd'hui à la caserne sud des pompiers professionnels d'Iéna. Ce cours est la première étape d'une formation de deux ans au total pour devenir chef d'équipe de pompiers ou inspecteur principal de pompiers. Six participants sont des stagiaires de la ville d'Iéna. Dix participants viennent d'autres services, outre des aspirants de Thuringe, deux pompiers d'usine de Zwickau et de Leuna ainsi que trois aspirants de Berlin.
Les aspirants ont maintenant près de 1.000 heures de formation théorique et pratique devant eux. Elles comprennent des bases telles que les mathématiques, le droit et la connaissance des appareils, ainsi que l'attaque d'incendie, la connaissance des véhicules, l'assistance technique et un camp de formation. Les camarades doivent aller jusqu'au bout de leurs capacités lors des heures de sport et de natation, mais aussi lors de la formation pratique. C'est pourquoi le chef du service spécialisé Peter Schörnig a parlé dans son discours de bienvenue de l'un des métiers les plus difficiles, mais aussi l'un des plus beaux que l'on puisse exercer.
"Le travail des pompiers est toujours un travail d'équipe", a poursuivi Peter Schörnig. "C'est pourquoi la formation accorde une grande importance à la cohésion ainsi qu'à l'aide et au soutien mutuels".
Le chef de département compétent, Benjamin Koppe, se montre très satisfait de l'évolution du site de formation d'Iéna "Les excellentes conditions d'Iéna se font rapidement connaître. Le terrain de formation sur le site de la TEAG, en particulier, offre des conditions d'exercice uniques. A cela s'ajoutent les formateurs expérimentés des sapeurs-pompiers professionnels d'Iéna", explique Koppe.
"De plus, l'association de formation des villes d'Iéna, Gera et Erfurt a fait ses preuves", ajoute-t-il. "Les programmes d'enseignement et les contenus d'apprentissage peuvent être mieux harmonisés, améliorés en permanence et standardisés grâce à la coopération intercommunale", poursuit le chef de département.